• La fée et le lutin

     

    La fée et le lutin

     

    Il était une fois
    Au pays de la pluie
    La fée Mélancolie.
    Elle cherchait son soleil,
    Courait toujours après
    Sans pouvoir l’attraper.
    C’était un cœur ,qui se mourrait d’ennui.

    Il était une fois
    Au pays du soleil
    Un lutin plaisantin,
    qui lui tendait la main,
    Arborant les chemins,
    C’était une âme perdue ,errant vers l’inconnu .

    La fée et le lutin
    Se rencontrèrent ,dans une jolie clairière,
    Peu à peu s’apprécièrent ,
    Et s’aimèrent.
    Le bonheur ils goûtèrent ,
    Ne s’en rassasiant point.
    Puis la fée est tombée ,
    du haut de l’escalier,
    Sacré coup du destin !

    Peu à peu s’éloignèrent ,
    Elle, impuissante,
    Dans un lit de misère,
    Lui, impuissant , 
    Attendant la lumière.
    La bougie s’éteignit ,
    Plus de vie , plus d’envies.

    Peu à peu s’ignorèrent,
    Oubliant leurs chimères,
    Regardant en avant ,
    en arrière,
    Ne connaissant leurs sentiments 
    qu’ils se cachèrent.

    Le lutin, plaisantin
    Se lassa de sa fée,
    Pourquoi l’aimer ?
    Ce n’est qu’une éphémère,
    Qui oublie de m’aimer.

    Il repartit dans le lointain,
    Rencontrer la fée de demain.


    Poème trouvé sur le net 

     

     

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  • Image fées

     

    La forêt enchantée

     

    Enfin la nuit dépose son voile de douceur,
    La forêt s’éveille et l’enchantement commence,
    Les branches s’entremêlent, les racines se nouent,
    La vie prend place dans cet endroit magique.

    Petits lutins et farfadets,
    Lucioles et petites fées,
    Dansent au clair de lune,
    Animant la féerie de ce lieu enchanté.

    Quand la nuit tombe, et que la magie prend place,
    Le mystère s’empare peu à peu de cet univers de rêve,
    Chut et écoutons, les bruissement d’ailes de ces créatures divines,
    Le doux rire dans la splendeur de ce silence irréel.

    Quand la forêt s’éveille,
    Je m’enfonce éternellement dans le lieu de mes rêves,
    Juste pour pouvoir côtoyer ce monde fabuleux,
    Rencontre de ces êtres féeriques…

     

    http://www.jepoeme.com/forum/poeme-fantastique/Foret_enchantee/343126/1.html


  • Fête des pères

     

     

    Fée de la nuit

     



    Douce et sans bruit
    Tu fais des merveilles.
    Tu es sans doute la plus jolie,
    Il n’en existe nulle autre pareille.

    La lune ronde et laiteuse reflète
    Sur ton lac, une généreuse ondée…
    Qui vient  silencieusement s’échouer nette
    Sur ta petite jetée ou brûlent les feux-folets.

    Nul cri, nul soupir, nul bruits…
    Tout le petit peuple est endormi.
    Tu œuvre à conter, à poétiser
    La nature des rêves de la nuitée.

    De chaques êtres et esprits
    Qui œuvre pour la nature,
    Pour le cycle de la saine vie
    Jouissant sur cette force pure.

    Tu te glisses au travers des ombres
    Ta  chevelure soyeuse et légère inonde.
    Une légère brise se lève à peine ressentie,
    Très peu savent ta venue et que tu es partie.

     

     

    Oizofu 

     



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  • Défi

     

     

    La fée d'automne 

     
    Elle est née d'une feuille d'automne coloré
    Au dernier stade de sa vie
    Qui a vendu son âme à une fée
    Pour rester encore un peu en vie

    Mais quand l'hiver arriva, elle du se faire une raison
    Et, de sa branche, elle tomba
    Elle chuta au sol, près d'un champignon
    Qui à cause d'une spore, la réanima

    Mais quand la fée vit que la feuille était éternelle
    Elle la changea en être mythique
    Il lui poussa un visage, un corps et des ailes
    Ainsi est née la fée d'automne nostalgique

    Elle s'ennuyait de ses autres amies, mortes dans le gel
    Elle s'ennuyait de sa branche que le vent ballottait
    Elle détestait se servir de ses ailes
    Et c'est toujours dans le vide qu'elle regardait

    Elle s'assit sur son champignon sauveur, 
    Et ses yeux s'emplirent de larmes qui gelèrent
    Et elle attendit dans le malheur
    Que revienne la lumière

    L'hiver passa, et le printemps reprit les rennes
    Les bourgeons arrivèrent sur les arbres dénudés
    Dans son coeur elle avait moins de peine
    Elle savait qu'elle allait retrouver ses feuilles adorées

    À l'été, elle se réjouit, passa son temps avec ses amies
    Elle s'amusait, toujours, entre les branches, volait
    Mais, plus l'automne approchait, plus son ciel était gris
    Et savait que bientôt tous la quitterait

    Quand l'automne faucha ses soeurs dans un carnage de sang
    De feuilles rouges tomber sur la terre
    Elle maugréa encore une fois contre le vent
    Mais, se remit à attendre la lumière

    C'est ainsi que la fée de l'automne, patienta touts les hivers
    Les larmes en glace, tout comme son coeur
    Dans un silence plein d'impatience pour ses confrères
    Elle attendait de retrouver son bonheur
     
     DarkMind 

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  • Fées

     

     

    Paradis magique

     

    Dans mon pays poussent des Roses noires
    Vous ne les trouverez pas dans votre jardin
    Car elles craignent le gel des frileux matins
    Elles s'épanouissent de l'aube au crépuscule
    Se laissant caresser doucement par vos yeux
    Diffusant leur parfum envoutants dans la nuit.

    Dans ce pays vivent des Anges aux ailes noires
    Vous ne les verrez pas jamais dans votre rue
    Parce-qu'ils sont invisibles à votre oeil nu
    Ils se reposent ici de leurs tourments
    Se laissant approcher de moi sans peur
    Offrant à mes mains leurs plumes de douceur.

    Dans mon pays se promènent aussi des Fées
    Mais vous ne les surprendrez pas le jour
    Car elles ne se promènent que dans la nuit
    Elles répandent leur magie sans un bruit
    Se laissant guider par la lueur des étoiles
    En allumant des arcs-en-ciel scintillants.


    Nanoumarie

     

     

     

    Lien poème :  http://poeme-libre.jepoeme.com/discussion-318117-Paradis_magique/1.html


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