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Par Syl♥ le 4 Novembre 2012 à 11:29
La fée et le lutin
Il était une fois
Au pays de la pluie
La fée Mélancolie.
Elle cherchait son soleil,
Courait toujours après
Sans pouvoir l’attraper.
C’était un cœur ,qui se mourrait d’ennui.
Il était une fois
Au pays du soleil
Un lutin plaisantin,
qui lui tendait la main,
Arborant les chemins,
C’était une âme perdue ,errant vers l’inconnu .
La fée et le lutin
Se rencontrèrent ,dans une jolie clairière,
Peu à peu s’apprécièrent ,
Et s’aimèrent.
Le bonheur ils goûtèrent ,
Ne s’en rassasiant point.
Puis la fée est tombée ,
du haut de l’escalier,
Sacré coup du destin !
Peu à peu s’éloignèrent ,
Elle, impuissante,
Dans un lit de misère,
Lui, impuissant ,
Attendant la lumière.
La bougie s’éteignit ,
Plus de vie , plus d’envies.
Peu à peu s’ignorèrent,
Oubliant leurs chimères,
Regardant en avant ,
en arrière,
Ne connaissant leurs sentiments
qu’ils se cachèrent.
Le lutin, plaisantin
Se lassa de sa fée,
Pourquoi l’aimer ?
Ce n’est qu’une éphémère,
Qui oublie de m’aimer.
Il repartit dans le lointain,
Rencontrer la fée de demain.Poème trouvé sur le net
16 commentaires -
Par Syl♥ le 12 Septembre 2012 à 09:33
La forêt enchantée
Enfin la nuit dépose son voile de douceur,
La forêt s’éveille et l’enchantement commence,
Les branches s’entremêlent, les racines se nouent,
La vie prend place dans cet endroit magique.
Petits lutins et farfadets,
Lucioles et petites fées,
Dansent au clair de lune,
Animant la féerie de ce lieu enchanté.
Quand la nuit tombe, et que la magie prend place,
Le mystère s’empare peu à peu de cet univers de rêve,
Chut et écoutons, les bruissement d’ailes de ces créatures divines,
Le doux rire dans la splendeur de ce silence irréel.
Quand la forêt s’éveille,
Je m’enfonce éternellement dans le lieu de mes rêves,
Juste pour pouvoir côtoyer ce monde fabuleux,
Rencontre de ces êtres féeriques…http://www.jepoeme.com/forum/poeme-fantastique/Foret_enchantee/343126/1.html
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Par Syl♥ le 19 Juillet 2011 à 12:51
Fée de la nuit
Douce et sans bruit
Tu fais des merveilles.
Tu es sans doute la plus jolie,
Il n’en existe nulle autre pareille.
La lune ronde et laiteuse reflète
Sur ton lac, une généreuse ondée…
Qui vient silencieusement s’échouer nette
Sur ta petite jetée ou brûlent les feux-folets.
Nul cri, nul soupir, nul bruits…
Tout le petit peuple est endormi.
Tu œuvre à conter, à poétiser
La nature des rêves de la nuitée.
De chaques êtres et esprits
Qui œuvre pour la nature,
Pour le cycle de la saine vie
Jouissant sur cette force pure.
Tu te glisses au travers des ombres
Ta chevelure soyeuse et légère inonde.
Une légère brise se lève à peine ressentie,
Très peu savent ta venue et que tu es partie.Oizofu
1 commentaire -
Par Syl♥ le 9 Juin 2011 à 08:44
La fée d'automne
Elle est née d'une feuille d'automne coloré
Au dernier stade de sa vie
Qui a vendu son âme à une fée
Pour rester encore un peu en vie
Mais quand l'hiver arriva, elle du se faire une raison
Et, de sa branche, elle tomba
Elle chuta au sol, près d'un champignon
Qui à cause d'une spore, la réanima
Mais quand la fée vit que la feuille était éternelle
Elle la changea en être mythique
Il lui poussa un visage, un corps et des ailes
Ainsi est née la fée d'automne nostalgique
Elle s'ennuyait de ses autres amies, mortes dans le gel
Elle s'ennuyait de sa branche que le vent ballottait
Elle détestait se servir de ses ailes
Et c'est toujours dans le vide qu'elle regardait
Elle s'assit sur son champignon sauveur,
Et ses yeux s'emplirent de larmes qui gelèrent
Et elle attendit dans le malheur
Que revienne la lumière
L'hiver passa, et le printemps reprit les rennes
Les bourgeons arrivèrent sur les arbres dénudés
Dans son coeur elle avait moins de peine
Elle savait qu'elle allait retrouver ses feuilles adorées
À l'été, elle se réjouit, passa son temps avec ses amies
Elle s'amusait, toujours, entre les branches, volait
Mais, plus l'automne approchait, plus son ciel était gris
Et savait que bientôt tous la quitterait
Quand l'automne faucha ses soeurs dans un carnage de sang
De feuilles rouges tomber sur la terre
Elle maugréa encore une fois contre le vent
Mais, se remit à attendre la lumière
C'est ainsi que la fée de l'automne, patienta touts les hivers
Les larmes en glace, tout comme son coeur
Dans un silence plein d'impatience pour ses confrères
Elle attendait de retrouver son bonheurDarkMind
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Par Syl♥ le 24 Mai 2011 à 10:48
Paradis magique
Dans mon pays poussent des Roses noires
Vous ne les trouverez pas dans votre jardin
Car elles craignent le gel des frileux matins
Elles s'épanouissent de l'aube au crépuscule
Se laissant caresser doucement par vos yeux
Diffusant leur parfum envoutants dans la nuit.
Dans ce pays vivent des Anges aux ailes noires
Vous ne les verrez pas jamais dans votre rue
Parce-qu'ils sont invisibles à votre oeil nu
Ils se reposent ici de leurs tourments
Se laissant approcher de moi sans peur
Offrant à mes mains leurs plumes de douceur.
Dans mon pays se promènent aussi des Fées
Mais vous ne les surprendrez pas le jour
Car elles ne se promènent que dans la nuit
Elles répandent leur magie sans un bruit
Se laissant guider par la lueur des étoiles
En allumant des arcs-en-ciel scintillants.Nanoumarie
Lien poème : http://poeme-libre.jepoeme.com/discussion-318117-Paradis_magique/1.html
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